Les économies d’énergies sont au cœur des enjeux actuels et les systèmes de GTB permettent d’en faire des conséquentes. Comment, pourquoi et combien, voici toutes les réponses à vos questions.
De l’acquisition de données à l’optimisation des dépenses
La Gestion Technique du Bâtiment (GTB) se fait en 4 étapes.
1 – L’acquisition de données
Des capteurs et des systèmes communicants transmettent différentes données : l’état des équipements, les événements et les mesures. Il est donc possible de savoir si un équipement comme le chauffage est en marche ou à l’arrêt, fonctionnel ou défaillant.
Ces systèmes peuvent aussi, et c’est tout l’intérêt de la GTB, mesurer les consommations et les temps de fonctionnement.
2 – La surveillance
Les données acquises sont transmises aux bonnes personnes et des systèmes permettent de les traiter et de les enregistrer.
La surveillance est utile à l’équipe de maintenance. Sans se déplacer, elle obtient des informations sur les pannes via des alarmes ou des signalisations pour les interventions curatives. Elle peut aussi prévoir des interventions préventives et planifier les activités de maintenance selon la consommation.
3 – La supervision
Au-delà de surveiller, la GTB permet de superviser et gérer les équipements à distance. Il est donc possible de piloter le fonctionnement à l’aide de réglages et commandes, de programmer et d’automatiser.
La supervision peut inclure plusieurs équipements qui communiquent entre eux de façon intelligente pour une gestion encore plus facilitée.
4 – La mesure de la performance
Un système de GTB efficace permet de mesurer la quantité d’énergie consommée par les équipements d’un un bâtiment en fonction de son utilisation. C’est la performance énergétique.
Le suivi des consommations permet de mettre en place des actions pour optimiser le fonctionnement des équipements et donc réduire les dépenses.
Alors, combien ?
Évidemment le montant économisé dépend de nombreux paramètres.
Il existe une échelle d’efficacité de la GTB qui est encadrée par la norme NF EN 15232. Cette norme définit l’impact de l’automatisation, de la régulation et de la gestion technique sur la performance énergétique des bâtiments.
Cette échelle se décompose de A à D :
- A : fort rendement énergétique
- B : GTB avancée
- C : GTB standard
- D : GTB non-énergétique
Pour un immeuble de bureaux, une GTB qui passerait du niveau D à B pourrait permettre jusqu’à 50% d’économies et 20% pour un passage du niveau C au niveau B.
Des chiffres intéressants, non ?
Pour faire, vous aussi, des économies d’énergie, contactez-nous.